Un mois après l’AG du CNIGEM toujours aucune nouvelle
Un compte rendu générale la journée a été finalement publié surle site du CNIGEM sans Compte rendu d’AG. La seule décision porté à la connaissance du public sur le site du CNIGEM étant la ratification des nouveaux statutsde l’association.
La réunion du CA a eu lieu le 10 janvier dernier, aucune information n’a pour l’instant été publiée sur la liste des élus, le rapport moral 2018. Cette réunion a acté le retour de la FNAPSY au sein du CNIGEM dont elle s’était retirée en 2016. La FNAPSY est désormais doublement représentée au sein du nouveau CA, à la fois sous les traits de Claude Finkelstein, membre de droit du CA et de ceux de Patrick Gaildry, récent démissionnaire de la FNAPSY et président du GEM HemisPhErik de Vanves (92).
Il y a un mois, avait lieu l’assemblée générale du CNIGEM qui est désormais sinon la principale association, du moins un des interlocuteurs essentiels des pouvoirs publics. À cette occasion avait lieu l’élection du nouveau conseil d’administration de l’association. Plus d’un mois après, on attend toujours le compte rendu de cette AG et de savoir qui a été élu au bureau à part les deux indécrottables compères bretons, Pierrick Leloeuff, animateur du GEM de Lannion, et Dominique Launat, ex-psychologue hospitalier de Santé Mentale France, que l’on peut considérer comme les codirecteurs du CNIGEM. On peut vous dire également que le tropisme Hauts-de-France, qui faisait que la moitié du CA était issu de cette région a disparu, le vice-président Margnotin ayant été démissionné en janvier dernier pour non-participation systématique aux réunions du bureau. Sur les 160 000 € du budget 2018, 15 [1] provenaient de l’ARS Nouvelle-Aquitaine, 15 000 de la Corse et 53 000 est partie dans les poches de l’Ancreai.
On sait aussi que nos deux codirecteurs se sont ensuite envolés à la Réunion pour y dispenser une formation CNIGEM et qu’ils y sont restés suffisamment longtemps pour ne pas pouvoir assister au comité national de suivi des GEM qui avait lieu le 13 novembre dernier. Aucune nouvelle non plus de ce comité où est pourtant censé se décider l’avenir de ces groupes. Et on n’en aura pas puisque les comptes rendus de ces réunions restent purement internes (à part celui de 2018 qui avait fuité sur le site du CNIGEM).
Alors, tout ce qu’on peut vous dire, c’est que Pierrick est maintenant en partie salarié par le CNIGEM, qu’il sera à Paris environ un mercredi par mois. On attend aussi avec impatience la publication, obligatoire pour une association aussi subventionnée, des rapports d’activité 2017 et 2018. C’est un comble quand même que chaque GEM soit obligé chaque année de rendre un rapport d’une vingtaine de pages et que le CNIGEM, censé montrer l’exemple, s’en abstienne.